Long Quiet River

Long Quiet River Bull Terrier

Bull Terrier

Tests chez le Bull Terrier







Test UPC 


L’UPC  est une analyse biochimique urinaire courante faite dans le cadre
du contrôle de la fonction rénale. Cette abréviation a comme signification
Urinaire Protéine/Créatinine, cet examen a d’autres dénominations (RUPC,
RPCU, UPUC) mais il s’agit bien du même examen.



Dans les conditions de base, la quantité de protéines éliminées dans l'urine
est très faible et ne dépend que peu de l'âge, du poids ou de la surface
corporelle. les protéines éliminées dans l'urine sont très voisines chez le
chien et chez l'homme. La présence d'une protéinurie chez votre bull terrier
peut être indicative d'une affection rénale débutante, elle doit donc être
évaluée et explorée sérieusement.


Que mesure cette analyse ?

L’un des premiers éléments de suivi de la fonction rénale est la mesure de la
protéinurie (quantité de protéines émises dans l’urine). Si l'on pouvait
doser les protéines excrétées dans les urines sur 24 heures, les valeurs
normales varieraient de 0,2 à 28,3 mg/kg/j. Hors il est bien entendu
irréalisable de recueillir les urines de votre bull pendant 24 heures, ainsi
pour évaluer la protéinurie sur un échantillon, on a recours au rapport
protéines urinaires sur créatinine urinaire. C'est donc ces deux derniers
éléments qui seront quantifiés lors de l'analyse d'urine.


Si vous devez calculer ou vérifier votre UPC, les 2 concentrations doivent
avoir la même unité exprimée en mg/L ou en g/L (vous devrez effectuer une
petite conversion très simple),  voici comment il faut procéder:


[1]


L'interprétation du résultat de l'UPC est la suivante:

< 0,5 = normal

0,5 à 1,0 = douteux

> 1,0 = anormal

La commission d'élevage du club de race avait choisi dans un premier temps (sur
les conseils du Professeur en Néphrologie le D.V. Lefebvre de l'ENVT) de fixer
la limite à 0,4 soit <0,5 (limite toutes races confondues).

Depuis le début de l'année 2009, dans un souci d'uniformité avec plusieurs
autres pays et en se référant à l'étude Australienne qui fait foi en la matière,
la commission BT a décidé de rabaisser le taux acceptable à 0,3, c'est à dire
que le club considérera un taux RPCU comme étant normal s'il est <0,4.

Ce test de dépistage des protéines est très fiable, toutefois ce rapport UPC
perd toute signification lors de "contamination protéique" (présence
de protéines originaires d'une pathologie autre que celles de la fonction et
filtration rénales). C'est pourquoi il faut s'assurer que votre bull ne soit
pas atteint de cystite (infection urinaire) lors de l'examen.

Ce test de dépistage des protéines est très fiable, toutefois ce rapport UPC
perd toute signification lors de "contamination protéique" (présence
de protéines originaires d'une pathologie autre que celles de la fonction et
filtration rénales). C'est pourquoi il faut s'assurer que votre bull ne soit
pas atteint de cystite (infection urinaire) lors de l'examen.

Pour ce faire utiliser un pot de recueil d'urine (communément appelé pot à
ECBU) disponible gracieusement sur demande chez votre vétérinaire, pharmacien
ou laboratoire d'analyses médicales. Il n'y a pas nécessité que ce pot soit
stérile, mais il doit être propre.

Le moment de la journée ou le jeûne de votre bull pour recueillir les urines
n'ont pas d'importance mais dans un souci de commodité pour vous, il est
préférable de récolter les urines du matin !

Laissez le 1er jet urinaire et ne conservez que le milieu de la miction, ceci
évitera une contamination protéique par le tractus urinaire.

- Vous pouvez également faire réaliser ce prélèvement chez votre vétérinaire
par cystocentèse (prélèvement stérile par ponction vésicale).

Le tarif de cette analyse pratiquée chez votre vétérinaire se situe entre 15 et
20 euros.



Lorsque l'UPC est pathologique

Un seul résultat anormal n'est pas alarmant, l'examen doit être renouvelé dans
des conditions optimales de recueil (traitement d'une cystite, fin de chaleur
pour les chiennes, cystocentèse ...).

Par contre une protéinurie persistante et supérieure aux limites définies nécessite
d'autres investigations médicales, réalisées par votre vétérinaire, afin d'en
définir l'origine et la gravité (typage des protéines, analyses de sang,
échographie rénale).



Quand et à qui faire un UPC ?

L'UPC est une indication de la fonction rénale au jour de l'examen, un résultat
normal ne présage pas que le chien ne développera jamais de maladie rénale, il
affirme simplement que le rein fonctionne correctement ce jour là. Le rapport
UPC doit s'intégrer dans une surveillance globale de la fonction rénale dans le
temps avec des examens répétés à intervalles réguliers (1 seul UPC normal
réalise à 13 mois n'a strictement aucune valeur dans le suivi rénal d'un bull
terrier)

L'UPC est avant tout destiné aux reproducteurs, l'intérêt est de dépister à
l'instant de l'examen d'éventuels chiens malades. Il n'est pas obligatoire de
le réaliser mais l'éleveur sérieux se doit de tester ses chiens avant de les
faire reproduire. 

Dans leur carrière de reproducteur, l'étalon et la lice doivent être
régulièrement contrôlés par UPC: une analyse tous les ans à partir de 12-18
mois est un minimum.



En tant que propriétaire particulier, cet examen peut aussi s'intégrer dans le
suivi annuel de votre bull terrier. Il ne s'agira pas d'éviter la transmission
d'une maladie génétique mais de dépister le plus tôt possible une éventuelle
maladie rénale afin de la prendre en charge le plus précocement et donc le plus
efficacement possible. Parlez-en à votre vétérinaire !

Le tarif de cette analyse pratiquée chez votre vétérinaire se situe entre 15 et
20 euros.

Lorsque l'UPC est pathologique

Un seul résultat anormal n'est pas alarmant, l'examen doit être renouvelé dans
des conditions optimales de recueil (traitement d'une cystite, fin de chaleur
pour les chiennes, cystocentèse ...).

Par contre une protéinurie persistante et supérieure aux limites définies nécessite
d'autres investigations médicales, réalisées par votre vétérinaire, afin d'en
définir l'origine et la gravité (typage des protéines, analyses de sang,
échographie rénale).



Quand et à qui faire un UPC ?

L'UPC est une indication de la fonction rénale au jour de l'examen, un résultat
normal ne présage pas que le chien ne développera jamais de maladie rénale, il
affirme simplement que le rein fonctionne correctement ce jour là. Le rapport
UPC doit s'intégrer dans une surveillance globale de la fonction rénale dans le
temps avec des examens répétés à intervalles réguliers (1 seul UPC normal
réalise à 13 mois n'a strictement aucune valeur dans le suivi rénal d'un bull
terrier)

L'UPC est avant tout destiné aux reproducteurs, l'intérêt est de dépister à
l'instant de l'examen d'éventuels chiens malades. Il n'est pas obligatoire de
le réaliser mais l'éleveur sérieux se doit de tester ses chiens avant de les
faire reproduire. 

Dans leur carrière de reproducteur, l'étalon et la lice doivent être
régulièrement contrôlés par UPC: une analyse tous les ans à partir de 12-18
mois est un minimum.



En tant que propriétaire particulier, cet examen peut aussi s'intégrer dans le
suivi annuel de votre bull terrier. Il ne s'agira pas d'éviter la transmission
d'une maladie génétique mais de dépister le plus tôt possible une éventuelle
maladie rénale afin de la prendre en charge le plus précocement et donc le plus
efficacement possible. Parlez-en à votre vétérinaire !

Lorsque l'UPC est pathologique

Un seul résultat anormal n'est pas alarmant, l'examen doit être renouvelé dans
des conditions optimales de recueil (traitement d'une cystite, fin de chaleur
pour les chiennes, cystocentèse ...).

Par contre une protéinurie persistante et supérieure aux limites définies nécessite
d'autres investigations médicales, réalisées par votre vétérinaire, afin d'en
définir l'origine et la gravité (typage des protéines, analyses de sang,
échographie rénale).

Quand et à qui faire un UPC ?

L'UPC est une indication de la fonction rénale au jour de l'examen, un résultat
normal ne présage pas que le chien ne développera jamais de maladie rénale, il
affirme simplement que le rein fonctionne correctement ce jour là. Le rapport
UPC doit s'intégrer dans une surveillance globale de la fonction rénale dans le
temps avec des examens répétés à intervalles réguliers (1 seul UPC normal
réalise à 13 mois n'a strictement aucune valeur dans le suivi rénal d'un bull
terrier)

L'UPC est avant tout destiné aux reproducteurs, l'intérêt est de dépister à
l'instant de l'examen d'éventuels chiens malades. Il n'est pas obligatoire de
le réaliser mais l'éleveur sérieux se doit de tester ses chiens avant de les
faire reproduire. 

Dans leur carrière de reproducteur, l'étalon et la lice doivent être
régulièrement contrôlés par UPC: une analyse tous les ans à partir de 12-18
mois est un minimum.



En tant que propriétaire particulier, cet examen peut aussi s'intégrer dans le
suivi annuel de votre bull terrier. Il ne s'agira pas d'éviter la transmission
d'une maladie génétique mais de dépister le plus tôt possible une éventuelle
maladie rénale afin de la prendre en charge le plus précocement et donc le plus
efficacement possible. Parlez-en à votre vétérinaire !

Quand et à qui faire un UPC ?

L'UPC est une indication de la fonction rénale au jour de l'examen, un résultat
normal ne présage pas que le chien ne développera jamais de maladie rénale, il
affirme simplement que le rein fonctionne correctement ce jour là. Le rapport
UPC
doit s'intégrer dans une surveillance globale de la fonction rénale dans le
temps avec des examens répétés à intervalles réguliers (1 seul UPC normal
réalise à 13 mois n'a strictement aucune valeur dans le suivi rénal d'un bull
terrier)


L'UPC est avant tout destiné aux reproducteurs, l'intérêt est de dépister à
l'instant de l'examen d'éventuels chiens malades. Il n'est pas obligatoire de
le réaliser mais l'éleveur sérieux se doit de tester ses chiens avant de les
faire reproduire. 


Dans leur carrière de reproducteur, l'étalon et la lice doivent être
régulièrement contrôlés par UPC: une analyse tous les ans à partir de 12-18
mois est un minimum.


En tant que propriétaire particulier, cet examen peut aussi s'intégrer dans le
suivi annuel de votre bull terrier. Il ne s'agira pas d'éviter la transmission
d'une maladie génétique mais de dépister le plus tôt possible une éventuelle
maladie rénale afin de la prendre en charge le plus précocement et donc le plus
efficacement possible. Parlez-en à votre vétérinaire !


En tant que propriétaire particulier, cet examen peut aussi s'intégrer dans le
suivi annuel de votre bull terrier. Il ne s'agira pas d'éviter la transmission
d'une maladie génétique mais de dépister le plus tôt possible une éventuelle
maladie rénale afin de la prendre en charge le plus précocement et donc le plus
efficacement possible. Parlez-en à votre vétérinaire !


La surdité héréditaire chez le Bull-terrier est présente dès le début de
l’existence de la race. 

En effet, les éleveurs de “White Bull-terriers” (standard homologué par le
Kennel Club en 1873), se trouvant face à un nombre de plus en plus important de
chiots sourds ont vite fait la relation entre cette anomalie de l’audition et
la robe exclusivement blanche de leur chiens. 

Ils firent donc la décision d’effectuer une retrempe avec un cousin de couleur,
le Staffordshire Bull terrier, et ce, dès les années 1910. 

Si ce choix a amélioré la situation, il n’en a pas pour autant réglé le
problème; sûrement du fait que de nombreux reproducteurs sourds de façon
unilatérale, donc difficilement décelables, n’ont pu être écartés de la
reproduction. 




Grâce au test P.E.A. (Potentiel Auditif Évoqué), appelé aussi BEAR test (Brainstem
Auditory Evoked Response), nous pouvons avec exactitude connaître le statut
auditif d’un sujet. 

Ce test a aussi permis d’effectuer des statistiques : le docteur George
M.Strain de l’Université de Bâton Rouge en Louisiane a démontré que 11% des Bull-terriers
étaient touchés par la surdité; ce chiffre s’élève à 19,9% pour les seuls Bull-terriers
blancs, soit près d’un Bull-terrier blanc sur cinq !!! 

 


La surdité héréditaire chez le Bull-terrier est présente dès le début de
l’existence de la race. 


En effet, les éleveurs de “White Bull-terriers” (standard homologué par le
Kennel Club en 1873), se trouvant face à un nombre de plus en plus important de
chiots sourds ont vite fait la relation entre cette anomalie de l’audition et
la robe exclusivement blanche de leur chiens. 


Ils firent donc la décision d’effectuer une retrempe avec un cousin de couleur,
le Staffordshire Bull terrier, et ce, dès les années 1910. 


Si ce choix a amélioré la situation, il n’en a pas pour autant réglé le
problème; sûrement du fait que de nombreux reproducteurs sourds de façon
unilatérale, donc difficilement décelables, n’ont pu être écartés de la
reproduction. 



Grâce au test P.E.A. (Potentiel Auditif Évoqué), appelé aussi BEAR test (Brainstem
Auditory Evoked Response), nous pouvons avec exactitude connaître le statut
auditif d’un sujet. 

Ce test a aussi permis d’effectuer des statistiques : le docteur George
M.Strain de l’Université de Bâton Rouge en Louisiane a démontré que 11% des Bull-terriers
étaient touchés par la surdité; ce chiffre s’élève à 19,9% pour les seuls Bull-terriers
blancs, soit près d’un Bull-terrier blanc sur cinq !!! 

 


Grâce au test P.E.A. (Potentiel Auditif Évoqué), appelé aussi BEAR test (Brainstem
Auditory Evoked Response), nous pouvons avec exactitude connaître le statut
auditif d’un sujet. 

Ce test a aussi permis d’effectuer des statistiques : le docteur George
M.Strain de l’Université de Bâton Rouge en Louisiane a démontré que 11% des Bull-terriers
étaient touchés par la surdité; ce chiffre s’élève à 19,9% pour les seuls Bull-terriers
blancs, soit près d’un Bull-terrier blanc sur cinq !!! 

 


Grâce au test P.E.A. (Potentiel Auditif Évoqué), appelé aussi BEAR test (Brainstem
Auditory Evoked Response), nous pouvons avec exactitude connaître le statut
auditif d’un sujet. 


Ce test a aussi permis d’effectuer des statistiques : le docteur George
M.Strain de l’Université de Bâton Rouge en Louisiane a démontré que 11% des Bull-terriers
étaient touchés par la surdité; ce chiffre s’élève à 19,9% pour les seuls Bull-terriers
blancs, soit près d’un Bull-terrier blanc sur cinq !!! 


 


Les potentiels évoqués auditifs (P.E.A.) du tronc cérébral sont des
enregistrements de l’activité électrique de la cochlée, du nerf cochléaire et
des premiers relais du tronc cérébral (voie de l’information nerveuse jusqu’au
cerveau). 

Ils sont réalisés au moyen d’électrodes de surface, après une stimulation
acoustique. 

Ces enregistrements se traduisent par un tracé comprenant 4 à 7 ondes, générées
chacune par une partie bien définie des voies nerveuses de l'audition. 

Leurs études permettent de confirmer et de localiser des troubles de l'audition
(résultat indépendant pour chaque oreille). Elles contribuent également à
mettre en évidence une lésion du tronc cérébral. 

Ce test se fait sous anesthésie générale de courte durée, à partir de l’âge de
cinq semaines. 



Le mode de transmission. 



Si la surdité congénitale peut potentiellement apparaître dans n’importe
qu’elle race, elle touche particulièrement celles présentant une robe
blanche. 

Deux gènes de pigmentation en particulier sont souvent associés à la surdité :
le gène merle (Colley, Berger des Shetlands, Bouvier d’Australie, Dogue
Allemand arlequin, Fox-hound Américain, et Dunker Norvégien...) et le gène pie
(Bull-terrier, Cocker Spaniel, Greyhound, Montagne des Pyrénées, Sealyham
Terrier, Bulldog, Dalmatien, Setter Anglais...). 

Si autrefois, le mode de transmission autosomal récessif était fortement
suspecté, aujourd’hui, avec le test P.E.A., les chercheurs ont démontré que le
mode de transmission était plus complexe et de type “polygénique”. 

Au cours des premières semaines de la vie du chiot, le gène sW (self White)
responsable de l’absence de pigmentation au niveau de la robe (robe blanche
dite “à panachure envahissante”), serait aussi responsable (avec l’action
combinée d’autres gènes) de l’absence de pigments au niveau des vaisseaux
irrigant la cochlée (partie de l’oreille interne). 

Cette absence causant inévitablement leur dégénérescence et par voie de
conséquence celle de la cochlée, provoquant ainsi une surdité certaine. 



Conclusion. 



Les gènes de pigmentation impliqués dans la surdité ont été récemment
identifiés par séquençage complet du génome canin. 



Dans l’attente de nouvelles découvertes sur le mode de transmission et d’un
futur test génétique, plusieurs mesures sont conseillées : 



- tester tous les reproducteurs ! 

- mettre hors de la reproduction les sourds unilatéraux ! (les bilatéraux étant
non confirmés) 

- favoriser les sujets de couleur pour la reproduction. 

- éviter les lignées comportant de nombreux sujets blancs avec présence de
sujets sourds, ou d’yeux bleus (souvent associée à une surdité)... 



Info==} https://www.bullterrier.fr/viewtopic.php?start=0&t=1168

Les potentiels évoqués auditifs (P.E.A.) du tronc cérébral sont des
enregistrements de l’activité électrique de la cochlée, du nerf cochléaire et
des premiers relais du tronc cérébral (voie de l’information nerveuse jusqu’au
cerveau). 


Ils sont réalisés au moyen d’électrodes de surface, après une stimulation
acoustique. 


Ces enregistrements se traduisent par un tracé comprenant 4 à 7 ondes, générées
chacune par une partie bien définie des voies nerveuses de l'audition. 


Leurs études permettent de confirmer et de localiser des troubles de l'audition
(résultat indépendant pour chaque oreille). Elles contribuent également à
mettre en évidence une lésion du tronc cérébral. 


Ce test se fait sous anesthésie générale de courte durée, à partir de l’âge de
cinq semaines. 


Le mode de transmission. 



Si la surdité congénitale peut potentiellement apparaître dans n’importe
qu’elle race, elle touche particulièrement celles présentant une robe
blanche. 

Deux gènes de pigmentation en particulier sont souvent associés à la surdité :
le gène merle (Colley, Berger des Shetlands, Bouvier d’Australie, Dogue
Allemand arlequin, Fox-hound Américain, et Dunker Norvégien...) et le gène pie
(Bull-terrier, Cocker Spaniel, Greyhound, Montagne des Pyrénées, Sealyham
Terrier, Bulldog, Dalmatien, Setter Anglais...). 

Si autrefois, le mode de transmission autosomal récessif était fortement
suspecté, aujourd’hui, avec le test P.E.A., les chercheurs ont démontré que le
mode de transmission était plus complexe et de type “polygénique”. 

Au cours des premières semaines de la vie du chiot, le gène sW (self White)
responsable de l’absence de pigmentation au niveau de la robe (robe blanche
dite “à panachure envahissante”), serait aussi responsable (avec l’action
combinée d’autres gènes) de l’absence de pigments au niveau des vaisseaux
irrigant la cochlée (partie de l’oreille interne). 

Cette absence causant inévitablement leur dégénérescence et par voie de
conséquence celle de la cochlée, provoquant ainsi une surdité certaine. 



Conclusion. 



Les gènes de pigmentation impliqués dans la surdité ont été récemment
identifiés par séquençage complet du génome canin. 



Dans l’attente de nouvelles découvertes sur le mode de transmission et d’un
futur test génétique, plusieurs mesures sont conseillées : 



- tester tous les reproducteurs ! 

- mettre hors de la reproduction les sourds unilatéraux ! (les bilatéraux étant
non confirmés) 

- favoriser les sujets de couleur pour la reproduction. 

- éviter les lignées comportant de nombreux sujets blancs avec présence de
sujets sourds, ou d’yeux bleus (souvent associée à une surdité)... 



Info==} https://www.bullterrier.fr/viewtopic.php?start=0&t=1168

Le mode de transmission. 


Si la surdité congénitale peut potentiellement apparaître dans n’importe
qu’elle race, elle touche particulièrement celles présentant une robe
blanche. 

Deux gènes de pigmentation en particulier sont souvent associés à la surdité :
le gène merle (Colley, Berger des Shetlands, Bouvier d’Australie, Dogue
Allemand arlequin, Fox-hound Américain, et Dunker Norvégien...) et le gène pie
(Bull-terrier, Cocker Spaniel, Greyhound, Montagne des Pyrénées, Sealyham
Terrier, Bulldog, Dalmatien, Setter Anglais...). 

Si autrefois, le mode de transmission autosomal récessif était fortement
suspecté, aujourd’hui, avec le test P.E.A., les chercheurs ont démontré que le
mode de transmission était plus complexe et de type “polygénique”. 

Au cours des premières semaines de la vie du chiot, le gène sW (self White)
responsable de l’absence de pigmentation au niveau de la robe (robe blanche
dite “à panachure envahissante”), serait aussi responsable (avec l’action
combinée d’autres gènes) de l’absence de pigments au niveau des vaisseaux
irrigant la cochlée (partie de l’oreille interne). 

Cette absence causant inévitablement leur dégénérescence et par voie de
conséquence celle de la cochlée, provoquant ainsi une surdité certaine. 



Conclusion. 



Les gènes de pigmentation impliqués dans la surdité ont été récemment
identifiés par séquençage complet du génome canin. 



Dans l’attente de nouvelles découvertes sur le mode de transmission et d’un
futur test génétique, plusieurs mesures sont conseillées : 



- tester tous les reproducteurs ! 

- mettre hors de la reproduction les sourds unilatéraux ! (les bilatéraux étant
non confirmés) 

- favoriser les sujets de couleur pour la reproduction. 

- éviter les lignées comportant de nombreux sujets blancs avec présence de
sujets sourds, ou d’yeux bleus (souvent associée à une surdité)... 



Info==} https://www.bullterrier.fr/viewtopic.php?start=0&t=1168

Si la surdité congénitale peut potentiellement apparaître dans n’importe
qu’elle race, elle touche particulièrement celles présentant une robe
blanche. 


Deux gènes de pigmentation en particulier sont souvent associés à la surdité :
le gène merle (Colley, Berger des Shetlands, Bouvier d’Australie, Dogue
Allemand arlequin, Fox-hound Américain, et Dunker Norvégien...) et le gène pie
(Bull-terrier, Cocker Spaniel, Greyhound, Montagne des Pyrénées, Sealyham
Terrier, Bulldog, Dalmatien, Setter Anglais...). 


Si autrefois, le mode de transmission autosomal récessif était fortement
suspecté, aujourd’hui, avec le test P.E.A., les chercheurs ont démontré que le
mode de transmission était plus complexe et de type “polygénique”. 


Au cours des premières semaines de la vie du chiot, le gène sW (self White)
responsable de l’absence de pigmentation au niveau de la robe (robe blanche
dite “à panachure envahissante”), serait aussi responsable (avec l’action
combinée d’autres gènes) de l’absence de pigments au niveau des vaisseaux
irrigant la cochlée (partie de l’oreille interne). 


Cette absence causant inévitablement leur dégénérescence et par voie de
conséquence celle de la cochlée, provoquant ainsi une surdité certaine. 


Conclusion. 



Les gènes de pigmentation impliqués dans la surdité ont été récemment
identifiés par séquençage complet du génome canin. 



Dans l’attente de nouvelles découvertes sur le mode de transmission et d’un
futur test génétique, plusieurs mesures sont conseillées : 



- tester tous les reproducteurs ! 

- mettre hors de la reproduction les sourds unilatéraux ! (les bilatéraux étant
non confirmés) 

- favoriser les sujets de couleur pour la reproduction. 

- éviter les lignées comportant de nombreux sujets blancs avec présence de
sujets sourds, ou d’yeux bleus (souvent associée à une surdité)... 



Info==} https://www.bullterrier.fr/viewtopic.php?start=0&t=1168

Conclusion. 


Les gènes de pigmentation impliqués dans la surdité ont été récemment
identifiés par séquençage complet du génome canin. 



Dans l’attente de nouvelles découvertes sur le mode de transmission et d’un
futur test génétique, plusieurs mesures sont conseillées : 



- tester tous les reproducteurs ! 

- mettre hors de la reproduction les sourds unilatéraux ! (les bilatéraux étant
non confirmés) 

- favoriser les sujets de couleur pour la reproduction. 

- éviter les lignées comportant de nombreux sujets blancs avec présence de
sujets sourds, ou d’yeux bleus (souvent associée à une surdité)... 



Info==} https://www.bullterrier.fr/viewtopic.php?start=0&t=1168

Les gènes de pigmentation impliqués dans la surdité ont été récemment
identifiés par séquençage complet du génome canin. 


Dans l’attente de nouvelles découvertes sur le mode de transmission et d’un
futur test génétique, plusieurs mesures sont conseillées : 



- tester tous les reproducteurs ! 

- mettre hors de la reproduction les sourds unilatéraux ! (les bilatéraux étant
non confirmés) 

- favoriser les sujets de couleur pour la reproduction. 

- éviter les lignées comportant de nombreux sujets blancs avec présence de
sujets sourds, ou d’yeux bleus (souvent associée à une surdité)... 



Info==} https://www.bullterrier.fr/viewtopic.php?start=0&t=1168

Dans l’attente de nouvelles découvertes sur le mode de transmission et d’un
futur test génétique, plusieurs mesures sont conseillées : 


- tester tous les reproducteurs ! 

- mettre hors de la reproduction les sourds unilatéraux ! (les bilatéraux étant
non confirmés) 

- favoriser les sujets de couleur pour la reproduction. 

- éviter les lignées comportant de nombreux sujets blancs avec présence de
sujets sourds, ou d’yeux bleus (souvent associée à une surdité)... 



Info==} https://www.bullterrier.fr/viewtopic.php?start=0&t=1168

- tester tous les reproducteurs ! 


- mettre hors de la reproduction les sourds unilatéraux ! (les bilatéraux étant
non confirmés) 


- favoriser les sujets de couleur pour la reproduction. 


- éviter les lignées comportant de nombreux sujets blancs avec présence de
sujets sourds, ou d’yeux bleus (souvent associée à une surdité)... 


Info==} https://www.bullterrier.fr/viewtopic.php?start=0&t=1168
Info==} https://www.bullterrier.fr/viewtopic.php?start=0&t=1168




Les valeurs de l'UPC



Comment réaliser le
prélèvement


[2]




- Vous pouvez réaliser ce
recueil d'urine vous-même, chez vous.



Info ==} https://www.lebullterrier.fr/les-maladies-renales/96-controle-de-la-fonction-renale-bullterrier-upc




Test PEA (surdité)




Un peu d’histoire... 

[3]




 



Le test P.E.A. 



 



Test Rotule




Test Cardiaque




Test ADN



 

Infos:

Infos: